Le baccalauréat marque le début d'un parcours riche et varié. Pour faire le bon choix d'orientation, il est essentiel de prendre le temps de réfléchir à ses compétences, ses intérêts et ses projets professionnels à long terme.
Les études supérieures : choisir la bonne filière
Le monde académique offre une multitude de formations adaptées à chaque profil étudiant.
Les universités dispensent des enseignements variés avec des licences, des masters et des doctorats. Dans la plupart des cas, les étudiants gèrent leurs apprentissages avec une grande autonomie. Cette liberté nécessite de leur part une bonne organisation s'ils souhaitent atteindre leurs objectifs de formation.
D'autres établissements post-bac, comme les écoles supérieures privées, proposent des formations professionnalisantes qui incitent les apprenants à innover et à créer.
À ESARC, grâce à une pédagogie active, les élèves développent des compétences techniques et relationnelles, allant de la maîtrise des outils informatiques à la capacité de travailler en équipe en passant par la prise de parole en public. En travaillant sur des cas réels et en échangeant avec des acteurs clés du secteur, ils acquièrent une expérience concrète du monde du travail. Grâce à des projets collaboratifs variés, à des ateliers de préparation aux entretiens d'embauche, à des séances de coaching personnalisées et à des partenariats avec des entreprises, les étudiants se préparent efficacement à leur future carrière.
Que faire après le bac quand on n'a pas d'idée ?
Vous vous interrogez sur votre avenir post-bac ? La réflexion mérite du temps et une méthodologie adaptée.
Commencez par explorer vos centres d'intérêt à travers des stages de découverte pendant les vacances scolaires. Ces expériences concrètes vous permettront de confirmer ou d'ajuster vos choix d'orientation.
Rencontrez des professionnels lors des journées portes ouvertes d'ESARC. Nos équipes vous accueillent pour échanger sur les spécialités qui vous attirent et découvrir nos programmes en action.
Un responsable pédagogique vous accompagne dans l'analyse de votre profil et l'identification des cursus correspondant à vos aspirations. Cette approche personnalisée garantit une orientation réfléchie vers des domaines d'activité porteurs.
Que faire après un bac pro ?
Le bac professionnel ouvre aujourd'hui de nombreuses portes dans l'enseignement supérieur. Plus de 40% des bacheliers professionnels poursuivent leurs études, principalement en BTS. Cette formation en deux ans s'avère particulièrement adaptée à leur profil grâce à son approche concrète et professionnalisante.
À ESARC, nous réservons des places spécifiques aux bacheliers professionnels dans nos BTS. Notre accompagnement personnalisé vous aide à réussir votre transition vers l'enseignement supérieur : tutorat renforcé, méthodologie de travail, préparation aux examens.
Le BTS constitue une excellente passerelle vers un Bachelor, permettant d'atteindre un niveau bac+3. Les bacheliers professionnels peuvent aussi opter pour une mention complémentaire en 1 an ou une formation spécialisée selon leur projet professionnel.
Que faire après un bac général ?
Avec plus de 90% de mentions au bac général, les bacheliers disposent d'un large éventail de formations. Les classes préparatoires attirent les étudiants visant les grandes écoles, tandis que les universités proposent des parcours en sciences humaines, droit ou économie.
Le Bachelor Universitaire de Technologie (BUT) séduit par sa dimension professionnalisante et ses stages en entreprise. À ESARC, nos BTS accueillent de nombreux bacheliers généraux souhaitant une formation concrète en deux ans, avec un accompagnement personnalisé et des rendez-vous réguliers avec nos conseillers d'orientation.
La voie générale mène aussi vers des écoles spécialisées : management des unités commerciales, éducateur de jeunes enfants ou assistant de service social. Notre équipe pédagogique vous guide dans l'analyse de vos points forts pour construire un projet professionnel solide.
Comment gagner sa vie après le bac ?
Le BTS ouvre des perspectives professionnelles attractives dès deux ans d'études. Les diplômés accèdent à des postes à responsabilités avec des rémunérations motivantes dans des secteurs porteurs comme le commerce, le management ou le digital.
À ESARC, nos étudiants bénéficient d'un accompagnement personnalisé vers l'emploi. Des ateliers de techniques de recherche d'emploi aux simulations d'entretiens, nous préparons votre entrée dans la vie active. Notre réseau de 2000 entreprises partenaires facilite votre insertion professionnelle.
Les stages et l'alternance vous permettent de mettre un pied dans le monde du travail tout en étudiant. Cette expérience concrète, associée à votre diplôme reconnu, devient un véritable tremplin pour accélérer votre carrière et évoluer rapidement vers des fonctions managériales.
L'alternance : étudier et travailler en même temps
La formation en alternance combine des périodes d'enseignements théoriques dans un centre de formation et des périodes de travail en entreprise. Elle se décline sous deux formes :
- Le contrat d'apprentissage : il s'adresse principalement aux jeunes de 16 à 29 ans, bien qu'il puisse s'étendre jusqu'à 35 ans dans certains cas. Les apprentis bénéficient d'une rémunération fixée par la loi, qui évolue en fonction de leur âge et de leur année de formation. Par exemple, pour un jeune de moins de 18 ans, la rémunération peut commencer à environ 27 % du SMIC (Salaire minimum interprofessionnel de croissance), tandis que pour un apprenti âgé de plus de 21 ans en deuxième année, elle peut atteindre 61 % du SMIC.
- Le contrat de professionnalisation : il est accessible aux jeunes, aux demandeurs d'emploi et aux salariés en reconversion. La rémunération, plus avantageuse que celle de l'apprentissage, peut atteindre le SMIC.
L'alternance confère aux étudiants le statut de salarié à part entière. Ainsi, ils jouissent de l'ensemble des avantages sociaux afférents (congés payés, remboursement des frais de transport). Cette formule ouvre également droit à diverses aides financières, notamment pour le logement et la mobilité. Les apprentis majeurs peuvent bénéficier d'aides spécifiques pour financer leur permis de conduire, un atout indéniable pour leur insertion professionnelle.
Prendre une année de césure (gap year) : une option à considérer
L'année de césure est une interruption volontaire des études. Cette période permet de faire une pause et de se consacrer à des projets personnels ou professionnels. Loin des contraintes scolaires, les étudiants peuvent affiner leur projet professionnel et découvrir de nouveaux horizons.
Les possibilités offertes par une année de césure sont multiples.
Certains étudiants optent pour des voyages à l'étranger afin de découvrir de nouvelles cultures et de pratiquer des langues étrangères.
D'autres préfèrent s'engager dans des projets humanitaires pour donner du sens à leur parcours. Il est également possible de créer sa propre entreprise ou tout simplement de prendre le temps de se consacrer à ses passions.
Pour réussir une année de césure, il faut définir des objectifs SMART (spécifiques, mesurables, atteignables, réalistes, temporellement définis). Cela permet d'orienter ses actions et de mesurer ses avancées. La recherche de financements (bourses, jobs étudiants, parrainage) est souvent nécessaire pour assurer la viabilité du projet. La mise en réseau avec des professionnels du secteur visé ou des anciens élèves peut ouvrir de nouvelles portes. Enfin, il est important de maintenir le contact avec son établissement d'origine afin de faciliter la réintégration en études.
Passer un concours et intégrer une école supérieure
Le concours d'admission à ESARC est conçu pour évaluer à la fois les connaissances théoriques et les compétences personnelles des postulants. Il se compose de plusieurs épreuves écrites qui portent sur la culture générale, les mathématiques et l'analyse de textes. Ces tests permettent d'estimer la capacité des candidats à raisonner logiquement, à structurer leurs idées et à résoudre des problèmes.
En complément des épreuves écrites, un entretien individuel est organisé. Ce moment d'échange permet d'évaluer la motivation de l'étudiant, la cohérence de son projet et ses qualités relationnelles. C'est l'occasion pour le candidat de présenter ses objectifs et de démontrer son engagement.
Pour certaines filières, des épreuves complémentaires peuvent être ajoutées pour évaluer des compétences spécifiques. Par exemple, pour un BTS Commerce international, des simulations de négociation ou des études de marché peuvent être proposées, tandis que pour un BTS SIO (services informatiques aux organisations), des tests techniques liés à l'algorithmique peuvent être inclus.
Se lancer dans le monde du travail : opportunités et défis
L'entrée directe dans la vie active est une perspective séduisante pour de nombreux bacheliers. Motivés par des raisons économiques ou par le désir d'acquérir une expérience professionnelle rapidement, ils trouvent des opportunités dans des secteurs variés tels que le commerce, l'hôtellerie, les services, l'industrie ou le numérique ou ils peuvent exercer des métiers de vendeur, d'animateur, de technicien et d'autres fonctions opérationnelles.
Cette voie, bien qu'attractive, n'est pas sans défis. Le marché du travail est souvent saturé et la concurrence y est particulièrement vive, notamment pour les jeunes diplômés. Les premiers emplois peuvent être précarisés, avec des contrats à durée déterminée ou des missions d'intérim. Par ailleurs, les rémunérations des débutants sont généralement inférieures à celles des salariés plus expérimentés.
Pour se démarquer dans ce contexte, il est recommandé de se tenir informé du marché de l'emploi en participant à des salons et en consultant régulièrement les offres en ligne. La réalisation de stages constitue un atout majeur : elle permet d'acquérir une première expérience professionnelle concrète, de développer un réseau de contacts et de valoriser son parcours sur un CV. Enfin, les formations continues sont essentielles pour acquérir de nouvelles compétences et accroître son employabilité.
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